The STUDIA UNIVERSITATIS BABEŞ-BOLYAI issue article summary

The summary of the selected article appears at the bottom of the page. In order to get back to the contents of the issue this article belongs to you have to access the link from the title. In order to see all the articles of the archive which have as author/co-author one of the authors mentioned below, you have to access the link from the author's name.

 
       
         
    STUDIA EUROPAEA - Issue no. 1 / 2005  
         
  Article:   INTER-PERSONAL WARS. EVERY DAY''S LIFE APPLICATIONS OF CONFLICT MANAGEMENT.

Authors:  BOGDAN LUCIAN.
 
       
         
  Abstract:  Dans l’article “Les guerres inter-personales. Les applications quitodiennes du management des conflits”, j’ai essaye de traiter, d’une mainere de forme libre, la question des conflits inter-humains qui font notre vie miserable chaque jour, d’une prespective, disons-donc, inveresee: si’ d’habitude, on analyse les conflits internationaux par analogie au comportement des individus, ma demarche est de retracer la meme voie dans le sens oppose. Nous vivons dans un monde conflictuel et, par consequence, nous devons nous adapter pour lui resister. Ensuite, on developpe des techniques et des strategies quasi-militaires chaque jour. L’on dit que chaqun d’entre nous est un “petit Napoleon”, et comme meme Napoleon a ete vaincu, ca tend d’etre la cruelle verite. J’ai adapte la spirale du conflit, prise de chez R.J. Rummel, (l’auteur a realise, lui-meme, une demarche inverse en la fondamentant) a la guerre inter-personale (c’est a-dire le conflit inter-personnel, mene en utilisant des strategies quasi-militaires et, surtout, percu par les ”combatants” comme une question de vie et de mort), en essayant de recreer l’image guerriere, des combatants, prets a s’entretuer pour un petit morceau de terrain, car nous vivons ainsi chaque jour (et ce serait le cas ideal si la realite pouvait me contredire franchement). Probablement, le plus grave deficit de ma demarche est de ne pas offrir des solutions, car, dans la plupart des situations, je n’en vois aucune, que d’en aller jusq’au fin.  
         
     
         
         
      Back to previous page